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La FLHLMQ a besoin de vous pour lutter contre l'intimidation

Soumis par Rédaction le

La FLHLMQ s'apprète à mener une campagne d'affichage contre l'intimidation et nous avons besoin de votre point de vue pour être le plus efficace possible. Répondez svp aux quatre questions de notre sondage afin de nous aider à bien toucher la cible.

Lors de notre dernier congrès, 67% des 132 locataires ayant participés à l'atelier spécial sur l'intimidation ont dit avoir été témoins d’intimidation au cours de la dernière année, et 40% ont dit avoir été directement victimes d'intimidation. Selon 33% de ces témoins et 41% de ces victimes, la fréquence d’intimidation était d'au moins une fois par semaine !

Les formes d’intimidation les plus souvent observées ou vécues étaient la violence verbale et l'appropriation des lieux

La violence verbale, c'est :                             

  • Partir de fausses rumeurs sur une personne ;
  • Dire des choses dans le dos d'une personne ;
  • Traiter de noms une personne ou dire des mots qui feront rire d’elle ;
  • Menacer une personne.

L'appropriation des lieux, c'est quand certains locataires qui vivent depuis plusieurs années dans l’habitation se permettent de s'approprier les espaces communs de l'habitation, par exemple les balançoires ou la salle communautaire.

Loin d'être anodine, l'intimidation a des impacts négatifs sur les personnes qui en sont témoins ou victimes :

  • Le sentiment d'impuissance face à l'intimidation ;
  • L'obligation de changer ses comportements ou ses habitudes de vie ;
  • L'isolement ;
  • Le stress, l'angoisse ou l'anxiété ;
  • La perte de confiance ;
  • La détresse psychologie ou la dépression ;
  • La tristesse.
 
Les réponses au sondage nous aiderons à bien orienter le message de nos affiches. Pour participer, cliquez ici !